Une première monographie internationale
Un dialogue entre la modernité occidentale et les traditions amérindiennes
Santiago Borja n’agit pas en iconoclaste : il croise les points de vue, entremêle les cultures, pour favoriser des influences mutuelles et enrichir le champ de l’expérience et des savoirs.
2. 3. 4. 5. SITIO, installation in situ réalisée à la villa Savoye (Poissy) en 2011. Ensemble de maquettes, photographies et oeuvres textiles
6. 7. Divan / Free Floating Attention Piece, installation in situ réalisée à Londres en 2010. Ensemble d’oeuvres.
8. 9. Fort da / Sampler, installation in situ réalisée à Los Angeles en 2010. Ensemble d’oeuvres.
10. Humo, installation, 2021
5. 6. Empreinte (pata de perro), oeuvre murale in situ – Le Quadrilatère, 2021
7. 8. Totemic Sampler, installation, 2018. Ensemble de maquettes, dessins et oeuvres textiles.
Art contemporain et synthèse des arts
A la croisée des chemins, au carrefour des histoires et des géographies, l’exposition « Premier contact » nous rappelle ainsi le pouvoir de l’art, ou cette capacité infinie à éveiller l’esprit, à ressourcer l’imaginaire, à tisser des liens inattendus entre l’intime et le monde.
Focus : deux productions inédites
En donnant à voir les deux motifs entremêlés, l’œuvre fait converger deux manières d’appréhender la psyché humaine : une faisant appel à la magie, l’autre aux outils d’analyse « rationnels » élaborés par les sciences humaines.
Réalisées en janvier 2021 pendant la résidence de Santiago Borja à Beauvais, deux œuvres inédites, Jungcatcher II et A Cosmos, ont été co-produites par Le Quadrilatère et le Frac Grand Large – Hauts-de-France ; elles intègreront la collection du Frac à l’issue de l’exposition.
9. Un cosmos, installation, 2020. Oeuvre co-produite par Le Quadrilatère et le Frac Grand Large.
Commissariat : Lucy Hofbauer et Aurélien Vernant